Mot clef : "assurance la personnelle"
12/07/2011
Acteur bien connu de l’assurance moto et, ne l’oublions pas, de l’assurance scooter, AMT Assurances a décidé d’apporter son soutien à l’association de solidarité internationale, Angela. La mission de cette ONG ? Venir en aide aux enfants défavorisés de Thaïlande. Coup de projecteur sur cette initiative toute solidaire.Pourquoi ?Patrick Ganci, fondateur de l’association Angela, est un client de longue date d’AMT Assurances qui a été séduit par son enthousiasme et son implication personnelle.Plus loin, une certaine ressemblance entre les deux entités tant dans leurs actions que dans leur histoire explique ce rapprochement. Il se traduira concrètement par un don financier d’AMT Assurances à l’association.Comment ?Du 1er juin au 31 décembre 2011, AMT Assurances donnera un euro sur chaque nouveau contrat souscrit par Internet, téléphone ou par l'intermédiaire des partenaires de l’assureur (courtiers, concessionnaires,…).Cet euro sera mis à profit pour :• construire des maisons sur pilotis pour reloger des familles, des salles de classes et des cantines• installer des réservoirs d'eau potable• faire pousser un potager dans chaque école• financer des bourses d'étude• offrir des soins et une scolarité aux enfants• former les personnes locales aux techniques d'agriculture, de mécanique et de cuisine• donner des manuels scolaires, de la nourriture et des vêtementsLe conseil d’Assurland : quelque soit votre assureur, sachez qu’il est interdit de débrider son engin. Il s’agit là d’un délit qui, plus grave encore, se solde chaque année par de nombreux accidents ! Plus d’infos sur le sujet vous attendent à l’article Moto : cyclo débridé = danger !.
Lien : http://www.assurland.com/assurance-blog/assurance-moto-actualite/assurance-moto-amt-soutient-l-association-angela_14938.html
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10/06/2011
Le scandale du Mediator a lancé une sorte de psychose s’articulant autour de la prise des médicaments. Depuis l’affaire rendue publique, les agences sanitaires semblent remettre en cause l’efficacité et l’innocuité d’un bon nombre de produits pharmaceutiques. Zèle ou véritable refonte du système, certains proposent d’autres alternatives aux médicaments.Santé : 2 rapports incitant aux pratiques non médicamenteusesLa Haute Autorité de Santé (HAS), constatant que les français consomment beaucoup trop de médicaments, vient de rendre deux rapports. Le premier, intitulé « Changer le regard sur les thérapeutiques non médicamenteuses » a pour objectif de faire évoluer les mentalités, aussi bien des professionnels de santé que des patients sur les médicaments.Le second, « Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées » tend à exposer les autres moyens de soins sans passer par la case médicaments.Nouvelles thérapies : l’assurance de garder la santé sans médicament !Le problème vient d’une part des patients qui pensent que sans médicaments ils ne peuvent pas véritablement se soigner et d’autre part des médecins qui ne redirigent pas assez ces derniers vers des spécialistes. Ils affirment savoir qu’il existe d’autres thérapies qui ne nécessitent pas la prise de médicaments mais ils n’auraient pas facilement accès à ce réseau.Voici enfin quelques idées émises par la HAS pour utiliser d’autres méthodes que les médicaments. Ces solutions sont à gérer personnellement, avec au programme : activité physique, meilleure gestion de l’alimentation, consultation de psychologues, etc. Ces méthodes sont préventives et participent à la guérison. Elles devront se développer à l’avenir afin de réduire une consommation trop importante de médicaments. Le comparateur d’assurances Assurland.com est idéal pour trouver une assurance santé adaptée à votre profil en seulement quelques clics ! N’hésitez pas, c’est gratuit !
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04/05/2011
Vous êtes l’heureux propriétaire d’un bien situé dans un ensemble immobilier ? À vous donc les joies de la copropriété, régime organisé depuis près d’un demi-siècle, depuis la loi du 10 juillet 1965 pour être tout à fait exact. Reste que la copropriété emporte certaines obligations en matière d’assurance habitation.Qu’est-ce que la copropriété ?On parle de « copropriété » lorsque la propriété d’un ensemble immobilier est partagée entre plusieurs personnes, morales ou physiques. Résultat, la copropriété se compose de parties communes et privatives.Selon que vous êtes copropriétaire occupant ou non, votre assurance multirisque habitation ne renfermera pas les mêmes garanties. C’est l’une des raisons pour lesquelles tout copropriétaire devrait songer à s’assurer à titre personnel s’il estime que la protection offerte par l’assurance de la copropriété est insuffisante.Les parties communes, c’est quoi ?On parle de « partes communes » pour désigner les parties des bâtiments et terrains affectées à l’utilité ou à l’usage de tous les copropriétaires ou de plusieurs d’entre eux. Si le contrat est muet à ce propos, sont considérées comme parties communes :• le sol, les cours, les parcs et jardins, les voies d'accès,• le gros œuvre des bâtiments, l'équipement commun dont les parties de canalisations y afférentes qui traversent des locaux privatifs,• les coffres, gaines et têtes de cheminées,• les locaux des services communs,• les passages et corridors.Le secours de l’assurance du syndic ?En général, l’assurance souscrite par le syndic de copropriété vaut pour : • la totalité des bâtiments (parties communes et privatives),• la responsabilité personnelle des copropriétaires pour les dommages causés à autrui, • les aménagements apportés par les copropriétaires dans leur appartement (cloisons, cuisine aménagée, placards, papiers peints, moquette,…)Détail non négligeable, l’assurance souscrite par le syndic peut parfois être limitée aux seules parties communes ainsi qu’à la responsabilité résultant uniquement de ces parties.Quelque soit votre statut, n’hésitez plus ! Comparez en quelques clics de multiples offres d’assurance habitation pour trouver la formule qui correspond le mieux à votre profil !
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01/03/2011
Assurland, HyperAssur, LeLynx, KelAssur, AssureMieux ou AssurProx, tous ces sites Internet proposent le même service permettre à l'internaute de trouver l'assurance la moins chère, notamment dans les domaines automobile, habitation et santé. Leur ambition réduire la facture du client de 30 % a 40 % en faisant louer la concurrence Leader et plus ancien sur ce marché, Assurland a été créé dès 2000. Les autres sites sont plus récents. Ils surfent tous sur l'envolée des primes d'assurance pour les particuliers ces deux dernières années. Assurland annonce plus de 4 millions de visiteurs mensuels et a mis en contacts 300 000 clients avec des assureurs en 2010. Les comparateurs d'assurances fonctionnent tous sur le même mode l'internaute remplit en ligne son dossier pour l'assurance recherchée. Pour un contrat automobile, par exemple, il doit fournir des informations concernant son véhicule, sa situation personnelle et le type de couverture souhaité. Une fois le dossier complété, ce qui prend en général moins de cinq minutes, il faut patienter quelques instants pourvoir apparaître la liste des contrats proposés par les compagnies d'assurances partenaires du site. Puis, l'internaute est, s'il le souhaite, mis en relation avec la compagnie de son choix pour finaliser le contrat. C'est à cette occasion que le site est rémunéré par l'assureur. Côté ergonomie, tous les comparateurs sont simples et rapides d'utilisation. Mention spéciale toutefois à HyperAssur, à Assurland et au Lynx, qui permettent à l'internaute de remplir son dossier de façon intuitive. «Nous restituons sans distinction toutes les offres de nos partenaires. Le consommateur est suffisamment responsable pour faire le tri lui même entre les contrats en fonction de ses attentes », précise Tanguy Thevenet, le directeur général d'HyperAssur, qui déclare envoyer plus de 60 000 clients prospects par mois à ses partenaires assureurs.Accès gratuit et rapideLes comparateurs ne trient donc pas les offres, le détail donné pour chaque contrat varie d'un site à l'autre LeLynx, Assurland et HyperAssur fournissent le détail complet des garanties. AssurProx, lui, fournit peu de précisions. Son concept est un peu différent de celui des autres puisqu'il propose de mettre ses clients en relation avec un courtier en assurances de leur région, en plus des 15 compagnies partenaires.La principale différence entre les comparateurs reste le nombre d'assureurs dont ils proposent les contrats. Certains, comme Assurland et HyperAssur, travaillent avec une multitude de partenaires (respectivement 54 et 45), ce qui garantit un large choix, qui va des assureurs low cost comme Direct Assurance ou Amaguiz, ou aux réseaux traditionnels.Impossible, en revanche, de dire qu'un comparateur permet de trouver moins cher qu'un autre tout dépend des garanties souhaitées par le client Attention, les autres comparateurs proposent un choix de partenaires plus restreint environ 35 pour KelAssur et AssureMieux, 25 pour LeLynx et 15 pour AssurProx. L'accès à ces sites est gratuit et rapide, le client peut utiliser en parallèle deux comparateurs différents pour bénéficier du plus grands nombre d'offres
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28/09/2010
Stanislas di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland, et Bertrand Geoffroy, directeur du pôle assurance chez Assurland ont répondu aux questions des internautes. Découvrez leurs réponses en cliquant sur cet article.Stanislas di Vittorio, fondateur du comparateur en ligne Assurland, et Bertrand Geoffroy, directeur du pôle assurance chez Assurland ont répondu aux questions des internautes. Découvrez leurs réponses en cliquant sur cet article.Bonjour,Je ne porte pas de lunettes mais j'ai très souvent des problèmes de dents. Or, il me semble que les garanties optiques et dentaires vont souvent de pair. Vaut-il mieux prendre de faibles garanties quitte à payer de ma poche pour les dents ou payer une bonne couverture optique pour rien ?Les garanties en matière optique et dentaire ne sont pas toujours liées, et il existe des contrats qui sont riches en garanties dentaires et beaucoup moins en optique. Je vous conseille de chercher un contrat de ce type qui me semble bien adapté à vos besoinsQuestion : Bonjour, l'an passé mon tarif a augmenté de plus de 25%. L'assureur m'a dit que c'était une question d'âge. Est-ce vrai ?Réponse: L'âge est un critère de tarification de l'assureur, avec des années charnières où vous changez de "plage" de tarification, et bien évidemment, le prix augmente avec l'âge puisque la consommation de soins de santé augmente. Ceci dit, et je ne connais pas votre situation personnelle, une augmentation de 25% à garanties constantes me semble considérable !Question : Bonjour Monsieur,J'azi tenté de lire mon contrat mais je n'ai absolument rien compris! TM, TC, PASS... comment faire pour s'y retrouver et comparer!!! Merci d'avanceRéponse : Le monde de l'assurance santé est en effet compliqué avec beaucoup de jargon et termes techniques, tels que le TC ( tarif de convention), TM ( ticket modérateur) etc.... Il n'y a malheureusement pas de solution facile mais les sites comparateurs d'assurance comme assurland.com sont très bien faits et vous analysent en détail la couverture et les franchises ou délais de carence de chaque contrat, en expliquant les termes techniques.Pierre310 : On parle de hausse, quels sont justement les éléments pouvant provoquer cette hausse ?Réponse : D'une façon générale, la consommation de soins de santé de la population française augmente du fait des progrès de la technologie médicale et du vieillissement de la population. En conséquence, le déficit de la sécurité sociale dérape, le gouvernement limite les remboursements par le biais de contributions des assurés ou de déremboursements, et les soins à la charge des assurances complémentaires augmentent. Celles-ci répercutent ces charges supplémentaires sur les assurés ainsi que les nouvelles taxes décidées par le gouvernement en augmentant leurs prixGrol : Bonjour Monsieur, existe-t-il des contrats "à la carte" sur lequel je peux choisir les prestations dont je risque d'avoir besoin (je ne fais pas de cures thermales et pas de pb d'orthodontie)Réponse : stricto sensu, il n'existe pas de contrat "à la carte" mais il existe des contrats où vous pouvez choisir entre plusieurs niveaux de garanties pour chaque poste de dépenseBoileau34 : Bonjour, je viens de changer d'entreprise et ma nouvelle boite ne propose pas de complémentaire. Je dois en prendre une individuelle mais j'ai toujours été en collectif. Du coup je n'ai absolument aucune idée des prix. Qu'est ce que ça me coûterait, vraiment grosso modo, pour avoir de bonne garanties, comparables à celles que j'avais en collectif (juste un ordre d'idée). Merci!Réponse : La meilleure solution est d'analyser les garanties de votre ancien contrat collectif, puis d'aller sur un comparateur d'assurance et d'essayer de trouver un niveau de couverture similaire. Ceci dit, je ne puis vous garantir que le prix sera le même.Poulard-DE : Bonjour, pourriez-vous m'expliquer comment fonctionne le parcours de soins. Ma complémentaire me ponctionne souvent 1 euro mais je ne comprends pas pourquoi.Réponse : Le parcours de soin consiste à aller voir votre médecin traitant qui vous aiguillera vers le spécialiste adéquat en fonction de votre pathologie. Si vous ne le respectez pas, la loi prévoit des pénalités financières.Truculent : Bonjour, y a t il de vraies différences entre les mutuelles et les assureurs sur les contrats santé ?Réponse : les assurances proposées par des mutuelles ou des assureurs ont en général des garanties et des franchises similaires. Par contre, dans une mutuelle, vous avez la possibilité de participer à l'élection de représentants qui éliront à leur tour le conseil d'administration de la mutuelle.GVOUBE : Bonjour, je trouve ma complémentaire trop chère. Comment faire pour en changer ?Réponse : Pour changer de mutuelle, il vous appartient de résilier la complémentaire précédente, ce qui en général ne peut se faire qu'à la date d'échéance du contrat. Suivant les assureurs, cette date est une année après la date de signature ou, dans certaines mutuelles, une date fixe pour tous les assurés. Vous pouvez aller comparer les contrats qui vous sont proposés par le marché en allant sur un comparateur d'assurances comme assurland.com qui vous comparera les prix, les garanties et les délais de carence (ce qui reste à votre charge).Trouil:d : Bonjour, comment comparer les contrats? Comment être ^sur qu'Assurland est vraiment objectif ?Réponse : Il n'y a que deux façons de comparer les contrats : demander des devis à plusieurs assureurs et éplucher leurs propositions pour comprendre ce qui est remboursé et ce qui ne l'est pas, ou aller sur un comparateur comme assurland.com. Votre garantie qu'assurland.com est objectif est le fait que nous affichons toutes les propositions des assureurs et que tous les assureurs sont les bienvenus pour venir participer au panel.Metremro : Bonjour, pour moi les contrats sont incomparables: pas les mêmes garanties, pas les mêmes tarifs... Comment comparer l'incomparable ?Réponse : Les contrats sont certes différents, mais je ne dirais pas qu'ils sont incomparables. De nouveau, soit vous faites la comparaison vous-même en demandant des devis à plusieurs assureurs et en comparant ce qu'ils vous proposent ou vous laisser un comparateur d'assurances sur Internet le faire à votre place.Sur un comparateur comme assurland.com, suite à votre questionnaire et au niveau de couverture que vous souhaitez, nous essayons d'ajuster les options de chaque assureur de telle façon à vous proposer des contrats aux garanties relativement proches même si il y aura toujours des différences. Vous pouvez ainsi avoir confiance quant au fait que les écarts de prix si ils sont importants ne sont donc pas liés à des écarts de garanties entre les contrats comparés.vk : Une vraie comparaison des barèmes des mutuelles est quasiment impossible pour le citoyen moyen étant donné qu'elles n'appliquent pas une même nomenclature des actes et prestations ni les mêmes bases effectives de remboursement (Tarif conventionné, dépenses réelles, forfait, ou autres). A quand une normalisation de la présentation des barèmes pour pouvoir s'y retrouver et comparer ?Réponse : Je suis absolument d'accord avec vous que les garanties ne sont pas toujours présentées en termes homogènes. Mais une décision sur ce point relève de la règlementation, car je ne pense pas que le monde de l'assurance parviendra à un consensus sur ce point. Pour mémoire, cela a été légalement mis en place pour le calcul des taux d'intérêt des prêts.Question : Bonjour,Je suis assuré par mon entreprise mais les garanties sont loins d'être suffisante. Puis-je demander à ne pas la payer et à souscrire mon propre contrat? Et si non, que faire ?? MerciRéponse : Vous pouvez demander à votre entreprise si la participation au contrat d'assurance santé collective est obligatoire, mais c'est le cas dans l'immense majorité des entreprises. Si tel est le cas, votre seule solution est de souscrire une assurance surcomplémentaire qui prendra le relais après le paiement de votre assurance d'entreprise.Question : Bonjour M. di Vittorio.Je me méfie des offres "1 mois gratuit" ou "2 mois gratuits" mais elles ont l'air intéressantes si je peux résilier un an plus tard. Qu'en pesnez vous?Merci d'avanceRéponse : Il est toujours utile de profiter d'une offre promotionnelle de 1 ou 2 mois gratuits, mais l'important est avant tout de vérifier si les garanties du contrat (et son prix) sont bien adaptés à vos besoins. Par ailleurs, notez que certains contrats vous offrent le mois gratuit en fin de première année et que pour en profiter vous êtes de facto obligés de rester assuré au moins deux ans.Question : Bonjour,Si les médicaments sont moins bien remboursés par la Sécu, est-ce que je vais devoir payer la différence? Est-ce que ma mutuelle va les prendre en charge ? merciRéponse : La prise en charge des médicaments dépendra des garanties de votre mutuelle. Je vous engage donc à lire votre contrat. Ceci dit, il est probable qu'elle les prendra en charge. Il est également probable que cette augmentation de charge pour la mutuelle réapparaîtra sous forme de hausse des prix dans les années à venir.Question : Bonjour je trouve cela bien beau de faire des comparatifs mais lorsqu'on est soumis au régime de mutuelle obligatoire (loi fillon) les salariés n'ont pas de choix. Par conséquent ces cotisants forcés ne peuvent plus changés et doivent subir les hausses de tarif de la mutuelle conventionnée. Ne pensez vous pas que de ce fait, il serait judicieux de remettre en place un système de libre choix de sa mutuelle ?Réponse : Je vous confirme que lorsque vous dépendez d'une assurance santé collective à adhésion obligatoire, vous n'avez en effet pas le choix de votre assurance santé. En contrepartie, vous bénéficiez d'un tarif négocié par votre entreprise et typiquement plus favorable, d'autant que votre entreprise paie en général une partie de la prime. Par ailleurs, si chaque salarié avait le choix de s'assurer ou non, seuls les salariés qui ont des problèmes de santé (ou risquent d'en avoir) s'assureraient et le prix de l'assurance santé en question augmenterait puisque il y aurait démutualisation du risque.Question : C'est quoi une bonne mutuelle santé ? Réponse : Une bonne mutuelle santé est une mutuelle qui offre une couverture adaptée à vos besoins à un tarif abordable. Tout dépend donc de vos besoins spécifiques en matière d'hospitalisation, de soins de ville, de médicaments, d'optique, de dentaire....Question : Bonjour,Mon contrat entreprise n'est pas très bon. Celui de ma femme est bien meilleur mais c'est un contrat individuel qui coûte extrêmement cher. Pensez-vous qu'il faille malgré tout que je la prenne sur mon contrat ?Réponse : Il s'agit d'un arbitrage économique entre un coût inférieur et des prestations moins bonnes d'un coté, et un coût supérieur et des prestations solides par ailleurs. Il est impossible de répondre à cette question sans connaître le détail de chacune des couvertures et vos besoins en matière de soins de santé. Sachez que vous pouvez toujours souscrire une assurance surcomplémentaire pour couvrir les soins qui ne sont pas pris en charge par l'assurance collective de votre employeur.Question : J'ai entendu parler de la supression d'un avantage pour les contrats solidaires. J'ignore si le mien l'est et si oui, est-ce qu'il va augmenter ? merciRéponse : Je vous confirme que le gouvernement prévoît d'imposer une taxe de 3.5% sur les contrats d'assurance responsables à compter de 2011. Ceux-ci étaient jusque-là exonérés de taxe, alors que les contrats non-responsables étaient jusque-là taxés à hauteur de 7%.Question : Bonjour Monsieur aujourd'hui les comparateurs comme Hyperassur , le Lynx et Devis Mutuelle sont détenus à 100% par des assureurs.Qu'en pensez vous ?Réponse : Je pense que le fait pour un comparateur, et notamment ceux que vous citez, d'avoir un assureur possédant la majorité ou la totalité de leur capital pose en effet une vraie question, car on ne saurait être à la fois juge et partie. C'est pour cette raison qu'assurland.com a pris la décision d'aller en bourse afin de devenir totalement indépendant au niveau de son capital. Sauf erreur de ma part, assurland.com sera ainsi le seul comparateur d'assurances totalement indépendant.M. Di Vittorio, le mot de la fin ?Merci pour ce dialogue constructif sur un sujet important pour tous les français en cette période de difficultés financières et de coût de la santé en forte augmentation. Et à très bientôt sur assurland.com pour trouver la bonne mutuelle santé au meilleur prix.
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13/09/2000
Grâce aux courtiers en ligne, le paysage français de l'assurance pourrait changer radicalementGrâce aux courtiers en ligne, le paysage français de l'assurance pourrait changer radicalement« Avec Internet, ça ne va plus être la galère de souscrire à un contrat d'assurance », annonce Vincent, surfeur invétéré. Faire le tour des assureurs, éplucher leurs contrats respectifs, peser le pour et le contre. Un acte désormais banal, simple et rapide ? Peut-être grâce à Assurland, Okassurance et tous les autres assureurs français, les traditionnels ou les nouveaux entrants qui se sont engouffrés sur le Web ces derniers mois.En effet, « la valeur ajoutée d'Internet, pour le secteur de l'assurance, est plus importante en France qu'ailleurs. Internet sera à l'assurance ce qu'a représenté l'arrivée de Carrefour pour l'industrie alimentaire », prédit Stéphane Guinet, fondateur du portail d'assurance Assurland. Grâce au Web, en effet, les prix de l'assurance vont baisser, et ce pour au moins deux raisons. D'abord, la distribution des contrats d'assurance via Internet génère des économies importantes. Martine Pauly-Lardenois, la directrice d'Okassurance, filiale en ligne des AGF, explique en effet que, sur la Toile, « il n'y a pas de frais de commission ni de gestion. D'où des économies de l'ordre de 18 % sur les primes pures, 15 à 25 % sur les commissions et frais de gestion ».Les prix vont également baisser car le Réseau stimule la concurrence au sein d'une industrie jugée « inefficiente » par Stéphane Guinet, qui assure que « les écarts de prix entre les trente grands assureurs français offline sont de l'ordre de 300 % ! ». Les courtiers, tel Assurland, proposent en effet les offres de divers professionnels, avec des comparateurs, qui permettent rapidement à l'assuré de choisir le meilleur rapport qualité/prix. le Web va donc considérablement faciliter la vie de l'internaute, qui pourra en dix minutes, après avoir répondu à cinq questions, contracter une assurance-habitation ou une assurance-automobile. Par ailleurs, celui-ci pourra suivre son dossier en ligne. « Lors de la tempête de l'hiver dernier, se souvient Martine Pauly-Lardenois, les assurés se posaient beaucoup de questions : quand et à quelle hauteur ils allaient être remboursés. Ils pourront désormais avoir toute cette information sur Internet. »Enfin, la Toile pousse les assureurs à innover. Les internautes étant plus jeunes que la clientèle moyenne des agents, Martine Pauly-Lardenois va créer un contrat d'assurance-auto pour les moins de 25 ans et pour ceux qui ont moins de trois ans de permis (un segment qui fait peur aux assureurs traditionnels). Mais pourquoi ne pas coller aussi aux nouveaux modes de vie ? « Les sports de glisse se développant, il y aurait des contrats à créer pour les gens qui se déplacent en patinette, par exemple », ajoute-t-elle.Cependant, le passage des assureurs à un canal de distribution virtuel n'est pas si simple. Outre la délicate coexistence avec les réseaux commerciaux existants, les chiffres parlent d'eux-mêmes. L'assurance-vie en ligne représente 1 % du marché aux Etats-Unis ; l'assurance-dommages, à peine 0,5 %. « Une enquête consommateurs nous a montré la dimension irréductiblement humaine de la relation entre un assuré et son assureur. Traiter de l'assurance, c'est anxiogène, on vous rappelle que vous êtes mortel », explique Henri Debryune. C'est pour cette raison que l'achat d'un contrat d'assurance se passe plus difficilement de la médiation d'une personne et que la gestion des sinistres ne pourra pas être complètement dématérialisée. D'après Martine Pauly-Lardenois, « tout le travail de l'assureur, en cas de problème, est de rassurer l'assuré qui a subi souvent un choc psychologique après un accident de voiture ou autre catastrophe. Il sera toujours possible d'avoir un contact humain pour les déclarations de sinistre. »Les internautes étant réticents à l'achat en ligne, peu de sites se sont risqués à en faire leur unique moyen de paiement. Okassurance propose ainsi la souscription en ligne ou par le courrier traditionnel. Assurland ne propose aucune souscription en ligne mais permet aux internautes de se mettre directement en relation électronique avec l'assureur de leur choix, grâce à une technologie XML qui permet de relier les différents systèmes informatiques des assureurs au site d'Assurland. Par ailleurs, tous les contrats d'assurance ne peuvent être vendus en ligne. Ainsi de l'assurance-vie, qui requiert des informations indiscrètes concernant la situation familiale ou personnelle que l'internaute sera réticent à donner « tant qu'il ne sera pas sûr de la protection des données personnelles sur le Web », explique Martine Pauly-Lardenois. Les sites ne proposent donc, en grande majorité, que de l'assurance-automobile et de l'assurance-habitation. Ce choix s'explique aussi pour des raisons économiques, puisque « 85 % du budget assurance des ménages sont consacrés à l'auto et l'habitation », rappelle Stéphane Guinet.Constance BaudryLe revers de la simplicitéLes assureurs virtuels ne proposent en général que des offres « packagées » plutôt que des contrats individualisés. C'est un peu le revers de la médaille de la simplicité revendiquée de l'assu -rance en ligne. « Ce qui se développe, c'est ce qu'il y a de plus simple, comme les packages. Dès qu'il commence à y avoir des options, l'internaute n'a pas la patience de surfer », explique Henri Debryune, consultant chez Capa Conseil. Martine Pauly-Lardenois, directrice d'Okassurance, vend également les packages, mais pour une autre raison : « Il y a un risque à proposer du sur-mesure en ligne. Si l'internaute a le choix entre plusieurs couvertures, il prendra systématiquement la plus chère, et, quand il verra le prix de l'assurance, qui sera logiquement très élevé, il fuira. Il n'y a, sur Internet, aucun agent pour lui expliquer qu'il n'a pas besoin d'une couverture aussi importante. Un cinq-pièces étant couvert à hauteur de 525 000 francs, la personne qui a besoin d'un contrat sur mesure, par exemple un aquarium géant à assurer, ira chez l'agent général. »
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23/07/2000
Les premiers sites de comparaison des contrats arrivent. Ils sélectionnent en quelques minutes les meilleures offres, en fonction du prix, des restrictions et des franchises, pour nos logements et nos voituresLes premiers sites de comparaison des contrats arrivent. Ils sélectionnent en quelques minutes les meilleures offres, en fonction du prix, des restrictions et des franchises, pour nos logements et nos voituresUn séisme attend les assureurs. Les clients vont bientôt pouvoir comparer prix et garanties des polices d'assurance avec une grande finesse. Comment ? Grâce à Internet, bien sûr ! Encore aujourd'hui, les compagnies s'ingénient à rendre les comparaisons difficiles, voire impossibles, que ce soit pour assurer sa voiture, son logement, son tableau de maître ou son chat du Bengale. Pour une raison simple : les barèmes d'assurance sont aussi nombreux que les assureurs. Logique, puisqu'aucun client ne ressemble à un autre. Résultat, pour "couvrir" le même appartement, la différence de prix peut aller de 1 à 3 entre deux assureurs, et parfois davantage pour l'automobile.Pis, la définition des sinistres évolue suivant les établissements. Les surprises sont nombreuses, car on ne comprendra jamais parfaitement toutes les restrictions, subtilités ou chausse-trapes d'un contrat. Et que dire des franchises parfois très importantes ? A moins d'étudier comme un jésuite dans sa cellule une trentaine de devis pour assurer la Clio que l'on vient d'acheter, on a toutes les chances de ne jamais souscrire à la formule idéale. Autant de méandres et de difficultés qui expliquent pourquoi les assureurs n'ont vraiment pas la cote chez les Français.Les relations devraient changer avec l'apparition de comparatifs efficaces sur internet, un instrument utilisé par un Américain sur trois avant de souscrire.Précurseur français, Assurland.com a inventé un "cerveau" unique au monde : le site propose depuis quelques semaines une comparaison instantanée de toutes les offres diponibles sur le marché en fonction de vos critères personnels. Vous remplissez une fiche personnelle, et c'est parti. Electroniquement, les solutions les plus rentables en termes de prix, de garanties, de restrictions et de franchises sont dénichées pour vous. Le tout, bien sûr, en toute sécurité et en toute objectivité (le capital de la start-up qui gère le site n'est lié à aucune compagnie d'assurances). Un rêve ? Non. Simplement l'histoire d'une bonne idée qui tente de se faire une place dans le monde opaque de l'assurance française."Ce que nous avons voulu faire, c'est de replacer le consommateur au centre de la décision en reconstituant entre les assureurs une concurrence, une transparence qui n'existait pas", assène Stéphane Guinet, 33 ans, dont dix dans l'assurance (quatre chez Axa). Il a cofondé la start-up avec deux de ses anciens condisciples de Polytechnique, Hugues Delannoy et Stanislas di Vittorio. Et voilà le résultat, chez Assurland, c'est un cerveau électronique qui fait pour vous ce qu'aucun être humain n'est capable de faire : comparer l'incomparable, c'est-à -dire trouver le meilleur prix en fonction d'une multiplicité de clients (il existe 3 millions de profils types), d'assureurs (ils sont 200 en France, possèdent chacun des centaines de formules) et de biens (sur le marché français, on compte pour les seules voitures 15 000 types différents). "Une performance qui ne peut être réalisée en dehors du monde internet", note Stanislas.Certes, d'autres formules internet avaient déjà contribué à débrousailler le terrain. En quelques mois, toutes les maisons d'assurance, les courtiers, les mutuelles, les banques se sont munis de sites informant sur le net - soit 600 sites à fin juin, selon les dernières statistiques du Centre d'analyse et de prospective de l'assurance (Capa). Mais ce ne sont que des vitrines. Seule réelle avancée : la possibilité de souscrire en ligne (une vingtaine de sites). Un courtier français, Firstassur.com, avait crée un premier système de comparaison instantanée. Assurland, lui, va plus loin en proposant un banc d'essai personnalisé complété par une relation privilégiée avec l'assureur choisi (numéro électronique du client qui se retrouve dans la mémoire de l'assureur élu).Ce bel édifice s'écroulerait si Assurland n'avait pas accès aux bases de données des assureurs pour effectuer ces fameuses comparaisons. Assurland doit en effet "piocher" en permanence dans leurs bases de données pour y dénicher la bonne formule pour le bon client. En fait, les assureurs ont longtemps résisté à une telle perspective. Mais la poussée d'internet ne leur a pas laissé le choix. A l'heure actuelle, Assurland dispose de 15 partenaires parmi les plus grands (AGF, Axa, Generali, GMF, Azur, Rhodia... etc.) et ambitionne d'en avoir 8 de plus fin septembre, notamment les mutuelles. "L'idée, à terme, c'est d'être associé avec 95 % des plus gros assureurs du logement et de l'automobile, deux domaines qui représentent les quatre cinquièmes de l'assurance en France", précise Hugues Delannoy.Si les assureurs ont accepté de collaborer, au risque de fragiliser certains monopoles, c'est que le "deal" leur profite quand même. En tant que portail comparatif de produits d'assurance, Assurland met ces derniers en valeur et génère une baisse des coûts de distribution pour l'assureur (l'internaute se renseigne lui-même et remplit lui-même ses dossiers). Dans la vie réelle, "recruter" un client coûte 1 500 F à un assureur (qui passe par des agents généraux, les courtiers traditionnels d'assurance). Avec Assurland, le prix n'est plus que de 500 F. Une somme qui va directement dans la poche de la start-up. L'entreprise espère que 50 000 internautes auront souscrit à la fin de l'année (soit une prévision de chiffre d'affaires d'un demi-million de francs pour 2000, l'équilibre étant attendu pour la fin de l'année suivante).Néanmoins, la révolution de l'assurance ne va pas se faire en un jour. Internet reste internet et la clientèle potentielle d'Assurland (et des concurrents qui vont apparaître) est pour l'instant relativement limitée : seuls 15 % des Français sont connectés, ce qui représenterait en théorie un marché compris entre 15 et 20 milliards de francs par an (logement + voiture). Assurland n'a pas eu de mal à trouver des investisseurs pour développer son site. Plusieurs business angels (des grands financiers en vue) ont apporté 10 millions de francs. Les bonnes nouvelles affluent et pourraient inciter les investisseurs à remettre au pot : le site est maintenant partenaire de nombreux portails généralistes (comme les plus gros AOL ou Lycos) et spécialisés (Autovalley, un site d'automobile d'occasion). Internet ne donne pas naissance qu'à des baudruches.Visite guidée du site AssurlandLa connexion est gratuite. Première étape : remplir une fiche de renseignements en 30 points (état civil, nombre de sinistres antérieurs, etc.). Lancez la recherche (une minute pour le logement, cinq minutes pour la voiture). Les trois meilleurs rapports prix-garanties s'affichent.Deuxième étape : choisissez une, deux ou trois des solutions. En cliquant dessus, vous devrez remplir - pour chacune - un second (bref) formulaire qui vous mettra en contact électroniquement avec l'assureur choisi.Vous recevrez un numéro de dossier qui vous permettra d'être reconnu instantanément, au téléphone, dans une agence, sur internet, par les négociateurs de l'assureur élu. Certaines rares agences sont même capables de vous rappeler à votre bureau à une heure convenue. Toutes doivent pouvoir vous faire parvenir un devis par courrier. Dernière étape : payer. Là , il faudra vous déplacer dans l'agence la plus proche de chez vous car, à l'heure actuelle, seuls trois partenaires d'Assurland sont capables d'opérer une souscription par internet (Eurofil, DirectAssurance et Reflex, qui prennent votre numéro de carte bleue et vous assurent instantanément).
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